Ligue1 : «On ne peut pas réaliser une telle performance sans un état d'esprit exceptionnel», note Génésio Par Le Figaro avec AFP Publié le 07/11/2021 à 23:50 ,
Gary réalise un classement des champions le tableau à télécharger à l'aide du texte kayakiste française Émilie Fer a remporté l'or lors des jeux Olympiques de Londres en 2012. Elle a devancé l'australienne Jessica Fox qui est repartie avec l'argent. Lista de comentários georgefel RéponseA2 Émilie B2 Fer C2 France ou Londres E3 orA3 Jessica C3 Australie ou Londres D3 kayak E3 ArgentExplicationsIl faut mettre le prénom de chacune des joueuses dans la colonne "Prénom" et leur noms dans la colonne "Nom", pays soit le pays d'origine soit le pays des jeux olympiques, sport kayak, médaille or pour Émilie et argent pour Jessica. J'espère que cela te convient et dit moi si j'ai eu juste
Liguedes champions 2021-2022 : toute l'actualité en direct, les matches, les résultats, les classements, les joueurs, en photos et vidéos. Soyez informé de toute l'info en continu, en images
L'Américain Justin Thomas vainqueur du Tournoi des Champions, à Kapalua à Hawaï, le 5 janvier 2020 / GETTY IMAGES NORTH AMERICA/AFP Après un final à trois "hitchcockien" avec Patrick Reed et Xander Schauffele, l'Américain Justin Thomas a remporté au 3e trou de play-off le Tournoi des Champions PGA, lors du 4e et dernier tour dimanche soir à vainqueur en 2017 du PGA Championship, aurait pu régler la question sans avoir recours à cette prolongation, sur le parcours de Plantation à Kapalua. Mais deux bogey aux 16e et 18e trous ont permis à ses compatriotes Patrick Reed et Xander Schauffele de recoller, accusant chacun un total de premier trou de play-off c'est Schauffele, leader la veille, qui a craqué, réussissant le par là où ses deux rivaux ont fait mieux avec un birdie chacun. Il a ainsi manqué de peu de réaliser le doublé, après sa victoire de l'an au 3e trou de play-off que Justin Thomas, 26 ans, a finalement eu le dernier mot face à Reed en réussissant un autre birdie, pour s'adjuger son 12e tournoi sur le circuit professionnel nord-américain. Le Tournoi des Champions réunit les vainqueurs de tournois de la saison passée et donne officieusement le coup d'envoi de la nouvelle final après le 4e tour par 73 1. Justin Thomas USA -14 67-73-69-69 3e trou de play-off 2. Patrick Reed USA -14 72-66-74-66 3. Xander Schauffele USA -14 69-68-71-70 4. Patrick Cantlay USA -11 69-71-73-68 5. Rickie Fowler USA -10 68-71-74-69 . Joaquin Niemann CHI -10 66-72-74-70 7. Dustin Johnson USA -9 72-71-71-69 . Collin Morikawa USA -9 71-71-70-71 . Gary Woodland USA -9 73-69-69-7210. Jon Rahm ESP -8 69-73-70-72...
JEUXOLYMPIQUES - La Française Emilie Fer est devenue championne olympique de kayak dames de slalom, jeudi 2 août sur le bassin des JO de Londres à Lee Valley. Fer, 29 ans, s'est imposée en finale
A deux ans des Jeux olympiques de Paris, le président de la République souhaite réaliser un point d'étape, notamment sur les questions de la sécurité et des transports. Article rédigé par Publié le 12/07/2022 1529 Mis à jour le 12/07/2022 1530 Temps de lecture 1 min. Le président de la République Emmanuel Macron réunira autour de la Première ministre les acteurs des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, le 25 juillet prochain, "pour faire un point détaillé de l'avancement de la préparation des JO", a annoncé, mardi 12 juillet, la ministre des Sports et des JO, Amélie Oudéa-Castéra. A deux ans de l'évènement et deux mois après le fiasco de la finale de la Ligue des champions au Stade de France, l'exécutif passera en revue notamment les questions de "sécurité", de "transports", a fait savoir le ministère des Sports à l'AFP, à l'occasion d'un conseil d'administration du comité d'organisation. Celui-ci doit également donner, mardi, son avis sur le futur lieu des épreuves préliminaires de basket, dossier qui a beaucoup fait parler alors qu'il était au départ prévu porte de Versailles. Outre les ministres concernés, comme le ministre de l'Intérieur, seront présents le président du comité d'organisation Tony Estanguet ainsi que le délégué interministériel aux JO, le préfet Michel Cadot, a précisé le ministère à l'AFP. Prolongez votre lecture autour de ce sujet tout l'univers Jeux olympiques de Paris 2024
Jecrois que même les propriétaires réalisent que c’est le moment d’un changement de culture au sein de la LNH et que ça doit commencer par le haut. C’est le
MATÉRIEL 9 mars 2020 Adrien Millière, notre expert matériel et club fitter de Golf Clubmakers, nous explique en moins d’une minute comment choisir ses wedges et les fameux degrés de bounce essentiels pour réaliser tous les types de coups autour du green ! Règles La règle relativement évidente qui a valu deux points de pénalité à Cameron Smith Samedi, lors du 3e tour du FedEx St. Jude Championship, l’Australien Cameron Smith a enfreint une règle sans le savoir et a été pénalisée a […] Enseignement Progressez avec le duo de champions Russo-Calmels et Backspin Events Né fin 2021 de la volonté de partager leur expérience du plus haut niveau européen, Backspin Events offre la possibilité de progresser en participant à […] Simon Camirand Pro PGA Technique vidéo comment mieux utiliser votre épaule gauche pour plus de puissance Simon Camirand, notre ami pro PGA canadien, très apprécié des lecteurs de Golf Planète, nous donne aujourd’hui un conseil pour développer plus de puissance au […] Parole d'Experts Le golf au service de votre développement personnel Engranger du positif avec Patricia Meunier Lebouc ! Votre caractère fait votre destinée… donc faites bien attention au vôtre, de caractère! 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Simon Camirand, pro PGA canadien, que les lecteurs de Golf Planète sollicitent, nous donne, cette semaine, un conseil qui peut changer votre jeu porter […] Parole d'Experts Développement personnel Devenir compétent inconscient Le golf nous apprend l’humilité. On rate beaucoup plus de coups qu’on en réussit. Si on n’est pas capable de l’accepter, on ne pourra accéder […] Parole d'Experts Le golf un sport à 70% mental, selon Stéphan Pollet La performance dans le sport réside dans la capacité à combiner parfaitement les 4 piliers du sport que sont le physique, la technique, la tactique […] Enseignement Au tour de la Schwartz Putting Academy at La Boulie Ancien joueur sur les circuits professionnels européens, Antoine Schwartz lance la Schwartz Putting Academy at La Boulie le 22 mai 2022. Ce petit bijou de […] Parole d'Experts Comment le driver a évolué au cours du temps ? 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Mardi18 octobre, Dominique de Bellaigue, président de la société LeTrot, avait invité les champions olympiques à l’Hippodrome de Vincennes pour une soirée festive célébrant leurs titres. L'occasion pour les cavaliers de s’essayer au trot attelé avec un plaisir communicatif !
Depuis leur renaissance à la fin du XIXe siècle, les Jeux Olympiques sont devenus la plus importante manifestation de dimension planétaire et assurément la plus médiatique, ce qui les place au centre d'enjeux politiques et économiques majeurs, parfois sombres et tragiques. Ces enjeux existaient déjà dans la Grèce antique avec les premiers Jeux, tout comme les problèmes liés à la corruption et à l'argent. Ainsi Athènes et ses alliés excluèrent-ils Sparte de la participation aux Jeux de 424 av. en raison de la guerre du Péloponnèse. Voici ci-après un survol de toutes les olympiades de l'ère moderne, d'Athènes 1896 à Rio 2016... Beauté du sport Les premiers Jeux se suivent avec un succès croissant qui va de pair avec la montée des classes moyennes en Occident et la découverte des loisirs et du sport. L'apparition de la télévision contribue aussi à leur popularité. Les deux guerres mondiales occasionnent deux longues coupures. 1896 Athènes Très modestes et quasiment confidentiels, les premiers Jeux de l'ère moderne accueillent 241 participants de 14 nations, les plus nombreux venant de Grèce, Allemagne, France et Grande-Bretagne. La cérémonie d'ouverture n'en recueille pas moins un grand succès d'estime dans le stade antique d'Athène reconstruit pour l'occasion. Le héros du jour est un berger grec du nom de Spiridon Louis 24 ans qui remporte l'épreuve du marathon, soit une course de 40 kilomètres entre l'antique champ de bataille de Marathon et le stade d'Athènes. Cette épreuve inédite rappelle l'exploit de Philippidès. À l'occasion des Jeux de Londres, en 1908, sa distance sera portée à 42,195 kilomètres afin que les coureurs puissent partir de la cour du château royal de Windsor. 1900 Paris Croyant bien faire, le baron de Coubertin a souhaité associer cette deuxième édition à l'Exposition universelle du siècle, à Paris, en croyant que leur visibilité s'en trouvait rehaussée. Bien au contraire, ils apparaissent comme une compétition en périphérie de l'exposition, dans le bois de Vincennes. C'est au point que l'on supprime même la cérémonie de clôture. Ces Jeux permettent toutefois d'assister aux premières compétitions féminines tennis, golf, voile... en dépit des préventions du baron de Coubertin. 1904 Saint-Louis Les organisateurs reproduisent la même erreur que précédemment en associant les Jeux à l'Exposition universelle de Saint-Louis Missouri qui célèbre le centenaire de l'achat de la Louisiane par les États-Unis. 1908 Londres Les Anglais se voient attribuer les Jeux après la défection des Italiens, affectés par une éruption du Vésuve. Organisés à la hâte, ils se déroulent à la perfection. Le vainqueur du marathon, Dorando Pietri, termine la course très largement devant ses concurrents, en 2h54, mais il est disqualifié pour avoir été aidé dans les derniers mètres. 1912 Stockholm Parfaitement organisés, ces IVe Jeux témoignent de l'arrivée à maturité de la manifestation. Les épreuves sont commentées en direct par une sonorisation et les courses bénéficient d'un chronométrage électrique. 1920 Anvers Ces Jeux sont organisés à Anvers en hommage aux souffrances endurées par les Belges pendant la Grande Guerre. Les vaincus en sont exclus Allemagne, Autriche, Hongrie, Turquie, Bulgarie. C'est la première décision de caractère politique dans l'Histoire de l'olympisme moderne. Le rituel olympique se met en place avec le serment prêté par les athlètes et les juges et le drapeau aux cinq anneaux entrelacés qui reprend les couleurs de tous les drapeaux du monde. 1924 Paris Pour la deuxième et dernière fois du siècle, les Jeux sont organisés à Paris. Ils recueillent un grand succès malgré le pugilat entre spectateurs à l'issue du match de rugby France-États-Unis. Les organisateurs se dotent d'une devise latine Citius, altius, fortius» Plus vite, plus haut, plus fort». Un champion américain de natation fera rêver toutes les femmes longtemps encore après les Jeux. Il a nom Johnny Weissmuller mais est resté plus connu sous celui de... Moi Tarzan, Toi Jane». 1928 Amsterdam Vainqueurs du triple saut et du 200 mètres brasse, deux Japonais sont les premiers Asiatiques à remporter des épreuves olympiques. 1932 Los Angeles C'est la crise ! Les Jeux se déroulent sur 16 jours au lieu de plus de 79 jours précédemment. Les athlètes sont en nombre réduit mais réalisent de bonnes performances. Les spectateurs sont au rendez-vous et pour la première fois, la manifestation génère des profits pas moins d'un million de dollars. 1936 Berlin Trois ans après son arrivée au pouvoir et un an après le vote de lois antisémites, Hitler veut faire des Jeux une illustration de la supériorité de l'idéologie nazie et de l'Allemagne. C'est la première fois que les Jeux sont ouvertement instrumentalisés par un régime politique, en l'occurence le pire qui soit. De fait, les compétitions se déroulent selon un cérémonial rigoureux. Une cinéaste au service de Hitler, Leni Riefenstahl, va en tirer un film de propagande d'une grande qualité esthétique Les Dieux du stade 1938. Deux athlètes vont néanmoins éclairer ces Jeux d'une lumière inattendue. Le premier est le Noir étasunien Jesse Owens qui remporte pas moins de quatre médailles d'or sur le 100 mètres, le 200 mètres, le 4x100 mètres et la longueur. Sur cette dernière épreuve, son concurrent est un Allemand qui ne craint pas de fraterniser avec lui sur le sautoir. Ensuite, en tant que vainqueur, Jesse Owens est amené à saluer le Führer de loin et celui-ci lui rend son salut en agitant la main une légende a posteriori voudra qu'il ait préféré quitter la tribune plutôt que lui serrer la main. Jesse Owens rappellera avec amertume dans ses Mémoires qu'il n'était pas mieux traité dans l'Amérique de la ségrégation qu'en Allemagne. Le deuxième héros des Jeux est le Coréen Son Ki-chong qui remporte le marathon. Officiellement enregistré dans la délégation du Japon, qui occupe la Corée, il dédie néanmoins sa victoire à son pays. 1948 Londres Après la Seconde Guerre mondiale, l'honneur des Jeux revient naturellement aux Anglais qui ont joué un rôle déterminant dans la victoire sur le nazisme. 59 nations y participent mais l'Allemagne et le Japon en sont exclus. La révélation sportive est un Américain, Bob Mathias, qui remporte le décathlon et devient à 17 ans le plus jeune médaillé masculin de l'Histoire. Les femmes s'attirent aussi beaucoup de succès. Elles sont 390 à côté de 3714 hommes, de quoi faire se retourner le baron de Coubertin dans sa tombe. 1952 Helsinki Ces Jeux parfaitement organisés voient l'entrée en scène, pour la première fois, de l'URSS. Absente des compétitions depuis la Première Guerre mondiale, l'Union Soviétique comprend l'intérêt de cette tribune sportive à vocation planétaire. Elle va désormais y prendre une part très active en ayant soin de fournir à ses ses athlètes amateurs» une préparation intensive dans le cadre de l'armée. La Tchécoslovaquie, satellite» de l'URSS, est à l'honneur avec la triple performance d'Emil Zátopek 30 ans, qui remporte le 5000 mètres, le 10000 mètres et le marathon. Aux Jeux précédents de Londres, il avait déjà gagné le 10000 mètres. Le jour de sa victoire sur 5000 mètres, son épouse Dana s'offre quant à elle une médaille d'or au javelot. 1956 Melbourne Melbourne innove à bien des égards. C’est la première fois que les Jeux se déroulent dans l’hémisphère sud et c’est aussi la première fois et la seule à ce jour que des Jeux d’été sont scindés en raison d’une quarantaine très stricte interdisant quasiment aux chevaux d’entrer sur le territoire australien, les épreuves équestres se sont déroulés à Stockholm du 10 au 17 juin, alors que Melbourne accueille les autres sports à la fin de l’automne. Autre première» lors de la cérémonie de clôture, les athlètes de tous les pays défilent ensemble et non par pays. Une manière de faire oublier le boycottage de certains pays et d'éviter des rixes comme à l'occasion de la finale de water-polo entre Soviétiques et Hongrois. Ces boycottages sont aussi une première» et témoignent de l'aggravation des tensions internationales dans un contexte de décolonisation et de guerre froide. En raison de l’intervention franco-britannique sur le canal de Suez, l’Égypte, le Liban et l’Irak ont refusé d’y participer. Et pour protester contre l’intervention soviétique à Budapest, l’Espagne, la Suisse et les Pays-bas n’ont pas envoyé d’athlètes à Melbourne. Sans oublier la République populaire de Chine qui s’est abstenue en raison de la présence de Taïwan. Les Français gardent le souvenir éblouissant de la victoire d'Alain Mimoun 35 ans au marathon. Cet ancien caporal-chef d'origine kabyle avait failli être amputé d'une jambe à l'issue de la bataille du Mont Cassin, en 1944. La veille du marathon, il apprend que son épouse vient d'accoucher. Parti avec le maillot 13, il l'emporte en 2h25 sur son rival et ami Zatopek... 1960 Rome Ces Jeux qui se déroulent dans le cadre majestueux de la Rome antique sont à proprement parler les derniers de l'ère européenne». La même année, de nombreux pays d'Afrique noire accèdent à l'indépendance. Par une coïncidence intéressante, le marathon, épreuve reine des Jeux, est remporté cette année-là par un Éthiopien, Abebe Bikila, le premier Africain à gagner une médaille d'or. Ce coureur aux pieds nus, inconnu de tous, prend son envol devant l'obélisque d'Axoum qui rappelle la conquête de l'Éthiopie par l'Italie ! Dans la nuit, sous la lumière des projecteurs, il arrive triomphal au terme de la course, devant l'arc de Constantin. L'autre révélation des Jeux de Rome est un boxeur afro-américain, Cassius Clay 18 ans, médaille d'or des poids mi-lourds. De retour chez lui, il se voit empêché d'entrer dans un restaurant chic réservé aux Blancs et de dépit jette sa médaille dans l'Ohio. Devenu un champion de boxe célébrissime, il se convertit en 1965 à l'islam radical et prend le nom de Mohamed Ali. Son itinéraire porte témoignage de la lutte contre la ségrégation raciale aux États-Unis. Douloureuse transition vers un monde multipolaire Pour la première fois, en 1964, les Jeux Olympiques se déroulent sur le continent asiatique, dans un pays non blanc, et qui plus est chez l'un des vaincus de la Seconde Guerre mondiale, le Japon. À l'heure de la décolonisation et de la montée du tiers-monde, il s'agit d'un symbole chargé de sens. Tellement que dès les éditions suivantes, la politique va faire irruption dans les Jeux, de façon généralement violente .... Publié ou mis à jour le 2021-07-25 081225
NikolaJokic, Will Barton et Gary Harris réalisent également un belle prestation avec 18 points, 6 rebonds, 5 passes décisives pour le premier, 14 points, 13 rebonds, 5 passes décisives pour le second et 19 points, 1 rebond, 5 passes décisives pour le troisième. Pour les Lakers, Anthony Davis réalise tout le boulot en l’absence de LeBron avec 32 points, 11 rebonds
vendredi, 6 août 2021. 0736 Mise à jour vendredi, 6 août 2021. 1345 Le titre qu'elle convoitait tant, Christine Sinclair l'a finalement obtenu. La Canadienne de 38 ans, capitaine de l'équipe féminine du Canada depuis maintes années, totalise plus de buts que quiconque sur la scène internationale du soccer, hommes ou femmes. Mais il manquait à son palmarès un triomphe à un tournoi majeur. Jusqu'à vendredi. À lire également Julia Grosso a couronné des moments de grande tension en touchant la cible lors de la sixième ronde et le Canada a remporté la médaille d'or du tournoi de soccer féminin des Jeux olympiques de Tokyo, vendredi soir, grâce à une victoire de 3-2 aux tirs de barrage contre la Suède. Les deux clubs étaient à égalité 1-1 après 90 minutes de temps réglementaire et 30 minutes additionnelles. Après le but décisif, les joueuses du Canada ont accouru vers Grosso et Sinclair a levé ses bras dans les airs en guise de victoire avant de sauter sur ses coéquipières. Vraiment, elle paraît même plus jolie », a déclaré Sinclair, en levant la médaille d'or. Tout juste avant le but décisif, la gardienne Stephanie Labbé avait frustré Jonna Andersson en plongeant pour empêcher le ballon de toucher le coin inférieur droit du filet. Pendant la session de tirs de barrage, Labbé a bloqué un autre tir, celui d'Anna Anvegard. Elle a aussi eu l'aide de son poteau gauche sur le tout premier tir, celui de Kosovare Asllani, et celle de Caroline Seger, qui a vu sa tentative survoler la barre transversale alors qu'un but aurait procuré la médaille d'or aux Suédoises. Après l'échec de Seger, Deanne Rose a ramené le Canada a égalité 2-2 en déjouant Hedvig Lindahl. J'essaie de ne pas trop le sentir, de me réveiller de ce mauvais rêve », a déclaré Lindahl. Félicitations au Canada, elles ont bien défendu. Nous avions la médaille à portée de nous. » Pendant le temps réglementaire, Stina Blackstenuis a donné l'avance à la Suède pendant la 34e minute. Dominées jusque-là, les Canadiennes ont réussi à créer l'égalité à la 67e minute lorsque Jessie Fleming a touché la cible sur un penalty, après une infraction à l'endroit de Sinclair dans la surface de réparation quelques instants auparavant. Ignorée sur le coup par l'arbitre sur le terrain, l'infraction a été signalée après l'intervention de l'assistance vidéo à l'arbitrage. Fleming a aussi trouvé le fond du filet lors des tirs de barrage. Il s'agit de la première médaille d'or olympique pour l'équipe féminine du Canada, après des troisièmes places lors des Jeux de Londres, en 2012, et lors des Jeux de Rio de Janeiro, en 2016. Honnêtement, je n'arrive pas à croire ce qui vient juste d'arriver », a déclaré Sinclair, qui a marqué 187 buts en carrière. Pendant les 40 derniers jours, nous avions l'objectif de venir ici et de changer la couleur de la médaille. Et nous avons atterri au sommet du podium. C'est tout simplement un grand honneur de faire partie de ce groupe. » Le Canada a pu atteindre le match ultime du tournoi de soccer féminin en terminant d'abord au deuxième rang du groupe E avec cinq points en trois matchs, résultat d'une victoire de 2-1 contre le Chili et de matchs nuls de 1-1 face au Japon et à la Grande-Bretagne. En quarts de finale, la formation canadienne a eu besoin d'un but de Vanessa Gilles et de deux arrêts-clé de Labbé pour éliminer le Brésil 4-3 aux tirs de barrage, après 120 minutes complètes sans un seul but de part et d'autre. Puis, en demi-finale lundi, le Canada a éliminé ses grandes rivales des États-Unis, l'emportant 1-0 grâce au but de Fleming, sur un penalty, à la 75e minute. De leur côté, les Suédoises ont complètement dominé le groupe G, duquel elles sont sorties avec un dossier immaculé de trois gains et aucune défaite. La Suède a amorcé la phase de groupe en battant facilement les États-Unis 3-0, avant d'inscrire des victoires de 4-2 contre l'Australie et de 2-0 face à la Nouvelle-Zélande. En quarts de finale, les Suédoises ont défait le Japon 3-1 avant de prendre la mesure de l'Australie pour la deuxième fois du tournoi, cette fois par la plus mince des marges, 1-0.
Volleyball Europe: Classements de Ligue des Champions 2021/2022. Publicité. Publicité
Forums des Zéros Une question ? Pas de panique, on va vous aider ! Accueil > Forum > Site Web > PHP > Réaliser un classement Liste des forums 8 avril 2010 à 192743 Bonjour ! j'aimerai réaliser un classement à l'aide d'une table mysql voici ma structure de table table classement saison, equipeid, id_rencontre, num_journee, equipe, score c'est pour un classement de tennis de table mais je vais changer ça ici pour faire avec du foot ça va peut etre, être mieux compris D du coup ça me fait des lignes du genre '2010', '1', '1', '1', 'Lyon', 5 '2010', '1', '1', '1', 'Marseille', 5 ici c'est par exemple saison 2010, en Ligue 1 equipeid, l'id de la rencontre est de 1, journée 1, Lyon 5 - Marseille 5. j'aimerai lister tous les buts de chaque équipe en faisant une somme, les buts encaissés, le nombre de victoire ça je compte faire ça en PHP avec les conditions, le nombre de défaites ainsi que le nombre de buts encaissés. le tout avec des variables. le problème que je suis confronté ==> quand je veux par exemple lister le nombre de buts inscrits par une équipe durant une même période je vois pas trop comment faire ... merci beaucoup de votre aide 8 avril 2010 à 195549 Hello Citationquand je veux par exemple lister le nombre de buts inscrits par une équipe durant une même période je vois pas trop comment faire ... Il faut que tu rajoutes quelques petites choses dans la close WHERE de ta requête SQL. Par exemple, quelque chose comme ça je ne suis pas certain de la syntaxe SELECT SUMscore as buts FROM table WHERE equipe="Lyon" AND num_journee BETWEEN 3 AND 5 Devrait renvoyer le nombre de buts marqués par Lyon entre la 3ème et la 5ème journée. 8 avril 2010 à 201152 oui mais pour faire cela dans toute les équipes ce n'est pas possible ? car s'il faut que je fasse ça dans toutes les équipes de mon club !! merci 8 avril 2010 à 201429 Il doit y avoir moyen de faire ça avec des GROUPE BY, mais mes connaissances en SQL ne sont malheureusement pas assez solides pour t'en dire plus. Tu pourrais peut-être t'en sortir en relisant la partie concernée du tuto PHP. 8 avril 2010 à 201727 merci à toi si certains ont d'autres idées n'hésitez pas Anonyme 8 avril 2010 à 203824 Bonsoir, Tu peux mettre une exportation de ta table j'ai une petite idée mais je voudrais tester avant de marquer n'importe quoi. Si j'ai bien compris ton souhait, totalisé les but et affichage par équipe avec un classement décroissant sur les butSELECT sum`score` as total_but, `equipe` FROM `classement` group by `equipe` order by `total_but` DESC 9 avril 2010 à 173718 en faite ce que j'aimerai faire => afficher un classement en fonction des points obtenus par équipe. j'ai réfléchi et je pense que mettre le nombre de points gagnés par équipe dans la BDD serait plus facile. avec ma table score, j'ai une table qui gère les matchs table rencontres/ voici ma table rencontres CREATE TABLE IF NOT EXISTS `rencontres` `rencontre_id` int11 NOT NULL auto_increment, `saison` int11 NOT NULL, `equipeid` int11 NOT NULL, `num_journee` int11 NOT NULL, `type_champ` varchar100 NOT NULL, `domicile` varchar100 NOT NULL, `exterieur` varchar100 NOT NULL, `score_domicile` varchar10 default NULL, `score_exterieur` varchar10 default NULL, PRIMARY KEY `rencontre_id` ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=utf8 AUTO_INCREMENT=7 ; - - Contenu de la table `rencontres` - INSERT INTO `rencontres` `rencontre_id`, `saison`, `equipeid`, `num_journee`, `type_champ`, `domicile`, `exterieur`, `score_domicile`, `score_exterieur` VALUES 1, 2010, 1, 20, 'français', 'Rennes', 'Lyon', '3', '0', 2, 2010, 1, 20, 'français', 'Marseille', 'Paris SG', '1', '1', 3, 2010, 1, 21, 'français', 'Paris SG', 'Rennes', '3', '0', 4, 2010, 1, 21, 'français', 'Marseille', 'Lyon', '1', '1', 5, 2010, 1, 22, 'français', 'Rennes', 'Marseille', '2', '2', 6, 2010, 1, 22, 'français', 'Lyon', 'Paris SG', '3', '0'; - Structure de la table `score` - CREATE TABLE IF NOT EXISTS `score` `saison` int11 NOT NULL, `equipeid` int11 NOT NULL, `num_journee` int11 NOT NULL, `equipe` varchar100 NOT NULL, `score` varchar10 default NULL, `points` int11 NOT NULL, PRIMARY KEY `saison`,`equipeid`,`num_journee`,`equipe` ENGINE=InnoDB DEFAULT CHARSET=utf8; - - Contenu de la table `score` - INSERT INTO `score` `saison`, `equipeid`, `num_journee`, `equipe`, `score`, `points` VALUES 2010, 1, 20, 'Lyon', '1', 0, 2010, 1, 20, 'Marseille', '1', 1, 2010, 1, 20, 'Paris SG', '1', 1, 2010, 1, 20, 'Rennes', '2', 3, 2010, 1, 21, 'Lyon', '1', 1, 2010, 1, 21, 'Marseille', '1', 1, 2010, 1, 21, 'Paris SG', '2', 3, 2010, 1, 21, 'Rennes', '0', 0, 2010, 1, 22, 'Lyon', '2', 3, 2010, 1, 22, 'Marseille', '2', 1, 2010, 1, 22, 'Paris SG', '0', 0, 2010, 1, 22, 'Rennes', '2', 1; EDIT => je voudrai faire le classement par équipe donc je pensais à une boucle mais le problème c'est qu'il ne faudrait pas que je mette un nom d'équipe dans la requête car il faudrait que le classement se fasse quelque soit les équipes. Le classement se composerait de la manière suivante - nom de l'équipe - match joué en faisant un COUNT - victoires en comptant les 3 points - nuls en comptant les 1 point - défaites en comptant les 0 pt - buts marqués pour ça je ne sais pas comment m'y prendre - buts encaissés pour ça je ne sais pas comment faire. merci Anonyme 9 avril 2010 à 183618 re, Difficile de répondre comme cela directement cela demande tout de même un peut de réflexion car à mon sens en première analyse tu es très mal partie dans la conception des tables beaucoup de chose redondante car pout moi tel que je le vois la en 2mn Une table équipe avec id, id_equip, nom, nb_journees_jouee et point qui va servir au classement Une table match avec id, id_match, journee, id_equip_local, id_equip_exterieur, but_local, but_exterieur qui va servir à afficher les matchs avec une liaison pour reprendre le nom des équipes avec la table précédente et qui lors de la mise à jour doit aussi mettre à jour le nombre de point dans la table précédente en fonction du résultat et si le nb de journée est bien inférieur à la journée table match, mais déjà je vois ce pointer le problème comment gérer les journée en retard quand une journée est décalé bien que j5 est aussi bien inférieur à 8 que 5 si c'est la 5 qui est faite plus tard Donc il faut bien poser le problème sur papier et bien analyser ce que doit faire tout cela.... et d'autre table mais que je n'arrive pas la tout de suite à définir sans bien poser le problème. Si quelqu'un a un autre avis avant que je parte complètement dans la réflexion ou que fasse partir "fandusrfc" sur une fausse piste!! 9 avril 2010 à 185053 bah si une journée est décalée on laisse le 0-0 par défaut non ? mais après je vois pas comment nommer une équipe en variable pour faire le classement ça, çà m'échappe complètement. Merci à toi en tout cas Anonyme 9 avril 2010 à 185608 re, dans la table classement tu va utiliser le nom de l'équipe avec un order by sur les point l'id_equip ne servira que de liaison vers les autres tables la référence en quelque sorte mais comme dit cela mérite une vrais analyse et pas une réponse toute faite en 5mn!! Car la ce qui est important pour que ton script fonctionne bien et de très bien concevoir les tables après le php c'est le dessert!! 9 avril 2010 à 190103 oui et pour prendre les buts marqués et encaissés ? car c'est le même numéro de match par définition juste le nom de l'équipe qui change. ne t'inquiète pas j'ai déjà réfléchi murement à la question ! mais il y a toujours des améliorations ! merci Anonyme 10 avril 2010 à 195912 merci, je vais regarder mais je préfère faire moi même, au moins je sais ce que je fais ! Anonyme 11 avril 2010 à 03035 merci il n'y en a pas de gratuit du même type qui sont bien ? Anonyme 11 avril 2010 à 103834 re, Tu as ici une version gratuite de navicatMysql ==> Navicat Lite par contre je ne sais pas du tout ce qu'il vaut je suis en train de tester un peut la version pleine mysql ==> Navicat for MySQL Exemple en illustration structure des tables seulement deuxCREATE TABLE `equipe` `id` tinyint9 NOT NULL AUTO_INCREMENT, `nom_equipe` varchar50 DEFAULT NULL COMMENT 'Nom de l''equipe', `nb_journees_jouee` int11 DEFAULT NULL, `point` int11 DEFAULT NULL, PRIMARY KEY `id`, UNIQUE KEY `nom_equipe` `nom_equipe` ENGINE=MyISAM AUTO_INCREMENT=6 DEFAULT CHARSET=utf8; - - - Records of equipe - - INSERT INTO `equipe` VALUES '1', 'strasbourg', null, null; INSERT INTO `equipe` VALUES '2', 'lyon', null, null; INSERT INTO `equipe` VALUES '3', 'laval', null, null; INSERT INTO `equipe` VALUES '4', 'auxere', null, null; INSERT INTO `equipe` VALUES '5', 'paris', null, null; - - - Table structure for `resultat_match` - - DROP TABLE IF EXISTS `resultat_match`; CREATE TABLE `resultat_match` `id_match` tinyint11 NOT NULL AUTO_INCREMENT, `journee` int11 DEFAULT NULL, `id_equip_local` int11 DEFAULT NULL, `id_equip_exterieur` int11 DEFAULT NULL, `but_local` int11 DEFAULT NULL, `but_exterieur` int11 DEFAULT NULL, `joue_le` timestamp NOT NULL DEFAULT CURRENT_TIMESTAMP ON UPDATE CURRENT_TIMESTAMP, PRIMARY KEY `id_match` ENGINE=MyISAM AUTO_INCREMENT=6 DEFAULT CHARSET=utf8; - - - Records of resultat_match - - INSERT INTO `resultat_match` VALUES '1', '1', '1', '3', '3', '2', '2010-04-06 235050'; INSERT INTO `resultat_match` VALUES '2', '1', '3', '4', '2', '2', '2010-04-06 235050'; INSERT INTO `resultat_match` VALUES '3', '1', '5', '2', '0', '0', '2010-04-06 235050'; INSERT INTO `resultat_match` VALUES '4', '2', '4', '5', '3', '2', '2010-04-10 235050'; INSERT INTO `resultat_match` VALUES '5', '2', '2', '1', '3', '2', '2010-04-10 235050'; Vue relationnel entre les tables Code php pour la page résultat des match Untitled Document '; echo 'Journée '.$donee['journee'].''; echo 'Le match entre '.$donee['equip_local'].' et '.$donee['equip_exterieur'].''; echo 'Resultat des buts '.$donee['but_local'].'-'.$donee['but_exterieur'].''; } mysql_close$conect; ?> et voila le résulta en affichage Alors la c'est un exemple simple qui ne montre peut être pas complètement l'intérêt de la procédure, mais déjà on constate que la table "resultat_match" ne comporte que des valeur numérique donc très légère et c'est la table "equipe" qui contient du texte et en même temps pourra être réutilisé pour faire l'affichage des statistiques de point sur la saison en cour. Réaliser un classement × Après avoir cliqué sur "Répondre" vous serez invité à vous connecter pour que votre message soit publié. × Attention, ce sujet est très ancien. Le déterrer n'est pas forcément approprié. Nous te conseillons de créer un nouveau sujet pour poser ta question.
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Pourson 8e challenge d'athlétisme, Granville accueillera l'équipe de France de perche. L'occasion d'inaugurer sa structure sportive
Introduction1Les sports olympiques, et la natation de compétition en particulier, offrent une occasion exceptionnellement claire pour étudier la nature de l’excellence. Dans d’autres champs, il peut être moins facile de dire quels sont les performers d’exception le peintre ou le pianiste le plus brillant, le businessman le plus productif, la serveuse la plus attentionnée ou le meilleur des pères. Mais, dans le sport et c’est là un de ses charmes, le succès est défini plus exactement, par le succès dans des compétitions. Il y a des médailles, des rubans et des coupes pour les premières, secondes et troisièmes places ; des matches sont organisés pour faire se rencontrer les meilleurs compétiteurs du monde ; en natation et en athlétisme, les temps sont mesurés électroniquement au centième de seconde près ; il y a des statistiques publiées et des classements annoncés chaque mois ou chaque semaine. A la fin des Jeux olympiques, tous les quatre ans, on sait clairement qui a gagné et qui a perdu, qui est allé en finale, qui a été sélectionné pour les Jeux, et qui n’a jamais participé aux compétitions sportives. 2Au sein de la natation de compétition tout spécialement, une stratification tranchée existe, non seulement entre les individus mais aussi bien entre les niveaux définis dans ce sport. Au niveau inférieur, on a les équipes de clubs de campagne, qui fonctionnent pendant la saison estivale dans le cadre de tournois organisés de manière peu formelle, et modérément compétitifs. Au-dessus, il y a des équipes qui représentent des villes entières et qui concourent contre d’autres équipes représentant d’autres villes de l’Etat ou de la région ensuite, le niveau de compétition National Junior » qui aligne les meilleurs jeunes athlètes en dessous de 18 ans ; puis, le niveau National Senior tous âges, les meilleurs du pays et, finalement, les champions qu’on peut appeler de classe olympique ou mondiale. A chacun de ces niveaux, on trouve, de manière prévisible, certains individus en compétition tel athlète nage dans un tournoi d’été, et ne rencontre jamais les nageurs d’autres villes tel nageur peut être régulièrement qualifié pour des épreuves Nationales Junior, mais pas pour les épreuves Senior un troisième peut nager aux Jeux, mais ne jamais retourner dans les épreuves Nationales Junior. Les niveaux du sport sont remarquablement distincts les uns des autres. 3C’est pratique pour celui qui étudie la stratification. Comme le succès en natation est bien définissable, et le système de stratification relativement peu ambigu si bien que le progrès d’un athlète peut être aisément mesuré, nous pouvons clairement voir, en comparant les niveaux et en étudiant les individus dans leurs déplacements entre, et au sein, des niveaux, ce qui produit exactement l’excellence. En outre, les carrières en natation sont relativement courtes on peut obtenir des succès remarquables en peu de temps. Rowdy Gaines, débutant en sport à 17 ans, est passé directement d’un club local au record du monde dans un 100 mètres nage libre en seulement trois années. Cela permet au chercheur de mener une véritable recherche longitudinale en peu de temps. 4Bref, en natation compétitive, on peut apprendre assez vite quelque chose à propos de la stratification c’est un lieu privilégié pour étudier la nature de l’excellence. 5L’approche suivie ici s’inscrit dans l’interactionnisme symbolique et la phénoménologie, tels qu’ils sont définis par Peter Berger et Thomas Luckmann, Herbert Blumer et Alfred Schutz [2]. La littérature de sociologie du sport est pauvre sur la natation on s’appuiera sur des classiques et quelques travaux récents [3].La recherche6De janvier 1983 à août 1984, j’ai assisté à une série de rencontres de natation, de classe nationale et internationale, organisées par United States Swimming, Inc. USS, l’instance dirigeante nationale pour cette discipline. United States Swimming contrôle le processus de sélection des équipes américaines pour les rencontres internationales tels les Jeux olympiques, et accrédite plusieurs milliers de clubs amateurs dans tout le pays, réunissant plusieurs centaines de milliers d’athlètes, en majorité des enfants et des adolescents. Ces clubs fournissent la base organisationnelle de la natation amateure en Amérique. Les compétitions suivies comprenaient à la fois des rencontres indoor et des Championnats nationaux outdoor, le meeting International de l’USS, le tournoi des Champions du magazine Seventeen, le meeting des Champions Speedo / Dupont, les rencontres préparatoires aux Jeux de 1984 et les Jeux olympiques de 1984 eux-mêmes. J’avais une accréditation de journaliste et j’étais libre de me déplacer et de parler à qui je voulais. Dans la plupart des déplacements, je voyageais avec los Nadadores les Nageurs de Mission Viejo Californie, champions par équipe des Etats-Unis à l’époque, partageant leur vie lors des transferts en avion, à l’hôtel, pour les repas et en ville. J’ai vécu avec les entraîneurs et les athlètes de cette équipe en assumant le rôle traditionnel d’observateur participant. Il était explicite pour tout le monde que j’étais là en tant que chercheur il n’y a eu aucune tromperie à aucun moment de l’enquête. Durant cette phase et par la suite, j’ai interviewé un total de quelque 120 nageurs et entraîneurs de classe nationale et mondiale [4]. 7Pendant ces années, j’ai fréquemment passé de trois jours à un mois et demi à Mission Viejo à une heure de route, au sud de Los Angeles en côtoyant les entraîneurs, visitant les installations et interviewant nageurs, entraîneurs et officiels. Le club des Nageurs m’a ouvert complètement l’accès aux lieux de pratique, aux séances de musculation, aux réunions d’équipe, aux soirées et autres évènements. De plus, j’étais présent à Mission Viejo pendant le stage de Préparation olympique qui s’est tenu là en juillet 1984, et j’étais le seul non-membre du club au bord des bassins pendant les après-midis d’entraînement à huis clos de l’équipe olympique. En outre, je viens d’achever cinq années comme entraîneur d’une équipe de nageurs de niveau d’âge régional 7-16 ans dans l’Etat de New York. Dans cette fonction, je me suis rendu à de nombreux meetings, depuis la réunion du plus petit club de campagne dans le Championnat de la Zone Est, jusqu’aux grands meetings de la Mississipi River. J’ai aussi entraîné dans le sud des Etats-Unis, et travaillé avec des débutants comme avec des détenteurs de records du groupe d’âge National. 8Bref, ce compte-rendu repose sur une expérience durable partagée avec les nageurs à tous les niveaux d’habileté, pendant une demi-douzaine d’années. L’observation a couvert l’ensemble des carrières, et j’ai eu la chance de comparer, non seulement des athlètes appartenant au même niveau perception que la plupart des entraîneurs partagent, mais entre les niveaux les plus contrastés. De ce fait, les analyses évitent l’habituel problème de sociologie de la connaissance » de l’observateur uniquement familiarisé avec les athlètes d’un seul niveau. Quand des entraîneurs de haut-niveau, par exemple, discutent de ce qui permet le succès, ils pensent souvent à des différences entre les athlètes qu’ils observent dans le haut-niveau. Leur ignorance des réalités quotidiennes des niveaux inférieurs programmes d’apprentissage de la nage, équipes de clubs de campagne les empêche d’avoir une vision véritablement comparative. Ou quand des journalistes sportifs écrivent à propos des athlètes qualifiés aux Jeux, ils commencent de manière typique la recherche une fois que les actions décisives ont eu lieu, et ils manquent d’une véritable perspective longitudinale ; la mémorisation par le nageur de son histoire passée subira des distorsions. 9Cette étude des nageurs olympiques, à l’opposé, 1 observe différents niveaux du sport, et 2 a été engagé bien avant les Jeux, alors que personne ne connaissait évidemment qui gagnerait et qui ne gagnerait pas elle fut conçue avec le projet explicite de voir comment la plante pousse avant que la fleur ne s’épanouisse. Le résultat est à la fois transversal en observant tous les niveaux du sport et longitudinal couvrant l’étendue des carrières.10Par excellence », j’entends une supériorité durable des performances ». L’athlète qui excelle réalise régulièrement, voire de manière routinière, des performances meilleures que celles de ses concurrentes. La permanence des performances supérieures indique qu’un athlète est véritablement meilleur qu’un autre, et que la différence entre eux n’est pas le produit de la chance. Cette définition s’applique à tous les niveaux du sport, et différencie les athlètes. La supériorité discutée ici peut être celle d’un nageur sur un autre, ou de tous les athlètes d’un niveau disons, le niveau olympique sur un autre niveau. Par cette définition, nous ne sommes pas contraints de juger une performance à l’aune d’un critère absolu, mais seulement par rapport à d’autres performances. Il y a des leaders reconnus dans toute équipe, tout comme il y a des équipes largement reconnues comme dominantes. 11Pour présenter ce que sont les sources de l’excellence pour des athlètes olympiques, je dois suggérer tout d’abord – réservant la démonstration pour plus tard – ce qui ne produit pas l’ n’est pas, selon mes résultats, le produit de personnalités socialement déviantes. Ces nageurs ne semblent pas être des hurluberlus », ni des sauvages » des gosses qui ont abandonné la vie normale des teenagers » [5]. Si leurs comportements résultent de traits de personnalité, ces traits ne sont pas évidents. Peut-être est-ce vrai, comme le veut la mythologie des sports, que les meilleurs athlètes ont plus confiance en eux-mêmes bien que ce point soit discutable ; mais une telle confiance pourrait être un effet de la réussite, non une cause de celle-ci [6].L’excellence ne résulte pas de changements quantitatifs du comportement. Une augmentation du temps d’entraînement, per se, ne fait pas nager plus vite, et n’améliore pas la préparation psychologique, de même que de mouvoir les bras plus vite. Faire simplement davantage du même ne conduit pas à une élévation du niveau en ne résulte pas de quelque qualité intime spéciale de l’athlète. Le talent » est le mot usuel pour cette qualité parfois, on parle de don », ou d’ aptitude naturelle ». Ces termes sont employés pour mystifier les procédés terre-à-terre de la réussite en sport, nous éloignant d’une analyse réaliste des facteurs concrets qui mènent à la performance superlative, et nous protégeant du sentiment de responsabilité face à nos propres alors, d’où vient l’excellence, la supériorité régulière des performances ?I – L’excellence suppose une différenciation qualitative12L’excellence dans la natation de compétition est atteinte par le biais d’une différenciation qualitative avec les autres nageurs, et non au moyen d’une augmentation quantitative de l’activité. Cela signifie, en bref, que les niveaux du sport sont qualitativement distincts la stratification est discrète, non continue ; et, du fait de ces caractéristiques, l’univers de la natation se présente comme une multiplicité de mondes, plutôt que comme une entité unique, chacun de ces mondes ayant ses formes de comportements. 13Avant de détailler ces points, je dois éclaircir ce qu’on entend par quantitatif » et qualitatif ». Par quantité, nous entendons le nombre ou le montant de quelque chose. Une amélioration quantitative suppose l’accroissement du nombre d’une des choses que l’on fait. Un athlète qui s’entraîne 2 heures par jour et augmente cette activité à 4 heures a accompli un changement quantitatif de comportement. Ou, une nageuse qui nage 5 miles et passe à 7 miles. Elle fait davantage de la même chose. Ou encore, un nageur de style libre qui, tout en conservant la même technique de crawl, déplace ses bras à un nombre plus élevé de mouvements par minute, a effectué un changement quantitatif. Une amélioration quantitative implique de faire davantage de la même chose. 14Par qualité, par contre, nous entendons le caractère ou la nature de la chose. Un changement qualitatif suppose de modifier ce qui est actuellement fait, et pas seulement d’en faire plus. Pour un nageur, un changement de qualité dans sa technique de brasse consisterait à écarter mouvement de godille les bras vers les côtés extérieurs plutôt que de les tirer directement vers l’arrière ; ou, au lieu de se soulever hors de l’eau au moment du virage, de rester près de la surface. Les autres changements qualitatifs comprennent d’aller concourir dans un meeting régional, au lieu de rester dans un meeting local ; manger des légumes et absorber des hydrates de carbone plutôt que des graisses et des sucres ; s’inscrire à un événement de niveau plus faible plutôt qu’à un plus fort ; apprendre à faire un virage culbute en crawl plutôt que de se retourner et de pousser le bord ; ou de s’entraîner à un niveau d’intensité quasi-compétitif plutôt qu’irrégulièrement. Chacun d’entre eux implique de faire les choses différemment qu’avant, pas nécessairement de faire plus. Une amélioration qualitative suppose de faire des sortes de choses différentes. 15Ensuite, nous pouvons examiner comment une différenciation qualitative devient manifeste. 16* Les différents niveaux du sport sont qualitativement distincts. Les champions olympiques ne font pas seulement davantage de la même chose que les nageurs des clubs de campagne des tournois d’été. Ils ne font pas que nager plus d’heures, ou mouvoir leurs bras plus vite, ou suivre un plus grand nombre d’entraînements. Ce qui les rend plus rapides ne peut être comparé quantitativement aux nageurs de niveau inférieur, parce que même s’il y a des différences quantitatives – et certainement il y en a, par exemple dans le nombre d’heures passées à s’entraîner –, elles ne sont pas du tout, je pense, le facteur décisif [7]. 17Au lieu de cela, ils font les choses différemment. Leurs brasses sont différentes, leurs attitudes sont différentes, leurs groupes d’amis sont différents ; leurs parents ont un rapport au sport différent, les nageurs se préparent différemment pour leurs courses, et ils s’inscrivent dans des catégories de meetings et de réunions différentes. Il y a de multiples discontinuités de cette sorte entre, disons, les nageurs engagés dans les compétitions des Championnats de la Ville du coin et ceux qui participent aux compétitions pré-olympiques. Il faut prendre en considération trois types de différences. 181 La technique. Les styles de mouvements, de plongeon et de virage sont radicalement différents aux différents niveaux. Au niveau C » le plus bas dans le système de classement de l’United States Swimming, une nageuse de brasse tend à ramener ses bras loin derrière elle, à battre des jambes largement sans les ramener ensemble à la fin, à se maintenir assez haut hors de l’eau dans le virage, à manquer de prendre une grande impulsion après le virage, et toucher d’une seule main lors du finish. Par comparaison, un nageur de haut niveau AAAA », en brasse, écarte les bras vers les côtés extérieurs puis les ramène vers l’intérieur contre la poitrine d’un mouvement très similaire à un balayage ne tirant jamais les bras de l’avant vers l’arrière, produit des battements à faible amplitude et avec les pieds qui reviennent ensemble, reste en position immergée dans les virages, prend une longue impulsion sous l’eau après le virage et touche la ligne de finish des deux mains. Non seulement les mouvements sont différents, mais ils sont si différents qu’un nageur C » serait étonné de voir à quoi un nageur AAAA » ressemble quand il nage. L’apparence elle-même est dramatiquement différente, tout comme la vitesse à laquelle il nage. Il en va de même pour les autres nages à un degré plus ou moins élevé, et certainement pour les départs plongeons et les virages. Pour apporter une autre observation, les nageurs de niveau olympique sont étonnamment silencieux quand ils plongent – ça fait un petit splash ». Inutile de dire qu’avec un débutant de 10 ans, il n’en va pas de même. 192 La discipline. Les meilleurs nageurs sont les plus stricts avec leur entraînement, venant aux séances à l’heure, faisant soigneusement les mouvements canoniques de la nage compétitive sans violer les règles techniques de la discipline [8], surveillant ce qu’ils mangent, dormant avec régularité, faisant les échauffements adéquats avant les épreuves, et ainsi de suite. Leur énergie est soigneusement canalisée. Le plongeur Greg Louganis, qui remporta deux médailles d’or aux Jeux de 1984, pratiquait seulement trois heures par jour – ce qui n’est pas un long temps – divisées en deux ou trois sessions. Mais, durant chaque session, il essaye de faire en sorte que chaque plongeon soit parfait. Louganis ne bâcle jamais durant l’entraînement, et de même il ne bâcle pas en compétition [9]. 203 L’attitude. Aux plus hauts niveaux de la natation compétitive, quelque chose comme une inversion d’attitude prend place. Les aspects mêmes du sport que le nageur de classe C » trouve astreignants, le nageur de haut-niveau les apprécie. Ce que les autres perçoivent comme ennuyeux – disons, nager de long en large, le long d’une ligne d’eau – ils le trouvent paisible, voire méditatif [10], le prennent souvent comme un défi, ou comme une thérapie. Ils savourent les tâches les plus dures, se projettent vers les compétitions les plus difficiles, essayent de se fixer des buts exigeants. Venant pour l’entraînement de 17h30 à Mission Viejo, de nombreux nageurs arrivaient frais, rigolards, bavardant, savourant la vie, appréciant peut-être le fait que la plupart des gens auraient positivement détesté faire cela. Il est faux de croire que les athlètes d’élite endurent de grands sacrifices pour parvenir à leurs fins. Souvent, ils ne perçoivent pas ce qu’ils font comme un sacrifice. Ils aiment ça [11]. 21Ces différences qualitatives sont ce qui distingue les niveaux du sport. Elles sont très nettes, tandis que les différences quantitatives entre les niveaux, aussi bien dans l’entraînement que dans la compétition, peuvent être étonnamment faibles en vérité. David Hemery, qui gagna une médaille d’or au 400 mètres haies aux Jeux de 1968, a recueilli des interviews d’athlètes de classe mondiale dans 22 disciplines différentes. La plupart du temps, le temps passé à s’entraîner un facteur quantitatif, dans notre analyse ne change pas significativement depuis le début de leur spécialisation jusqu’au haut niveau ». Malgré tout, de petites différences quantitatives dans les performances peuvent être liées à de très grandes différences qualitatives dans la finale du 100 mètres nage libre hommes des Jeux de 1984, Rowdy Gaines, le vainqueur, finit devant Mark Stockwell, le second, avec 44 centièmes de seconde d’avance, soit 0,8%. Entre Gaines et le nageur classé huitième pratiquement inconnu, Dirk Korthals, d’Allemagne de l’Ouest, il y avait seulement 2,2% de différence de temps. En fait, entre Rowdy Gaines, le nageur le plus rapide du monde cette année-là, et un champion dans la catégorie des dix ans, la différence quantitative en vitesse n’est que de 30%. Encore une fois ici, comme dans bien des cas, une différence quantitative plutôt faible produit une différence qualitative énorme. Gaines fut nettement un vainqueur des plus grandes compétitions internationales, détenteur du record du monde et de médailles d’or au cours de trois Jeux olympiques. 22* La stratification du sport est discrète, non continue. Entre les niveaux du sport, il y a des ruptures – ou discontinuités – significatives. Cela inclut des différences dans les attitudes, la discipline et la technique qui, en retour, produisent des différences de rapidité, petites, mais conséquentes. Des équipes toutes entières présentent de telles différences quant à l’attitude, la discipline et la technique qu’elles paraissent véritablement liées » à certains niveaux [12]. Certaines équipes réussissent toujours bien à certains niveaux du Championnat National, d’autres au niveau Régional, d’autres aux rencontres locales. Et, assurément, certains nageurs restent typiquement au sein d’un même niveau tout au long de leur carrière, conservant durant toute cette carrière les mêmes habitudes qu’ils avaient à leurs débuts. Au sein d’un niveau, les améliorations en termes de compétition pour de tels nageurs sont typiquement marginales, reflétant surtout les écarts différentiels de croissance au tout début de la puberté, par ex. ou les manœuvres pour être sélectionné dans la petite sphère de leur niveau. 23Je suggère ici que les athlètes n’atteignent pas le plus haut-niveau simplement par un processus de progression, en accumulant purement du temps dans la pratique ; les améliorations d’un niveau à l’autre ne résultent pas de changements quantitatifs. Aucune quantité de travail supplémentaire en soi ne transformera un nageur de classe C » en un nageur AAAA » sans qu’il y ait concurremment des changements qualitatifs dans la manière de faire ce travail. Au-delà d’une amélioration initiale de la force, de la souplesse et des sensations, il y a peu de gains de vitesse à réaliser à travers une simple augmentation du volume d’entraînement. Au contraire, les athlètes parviennent aux plus hauts niveaux grâce à des sauts qualitatifs des changements notables dans leur technique, la discipline et les attitudes, réalisés journellement à travers un changement de cadre, e. g. en se joignant à un nouveau groupe avec un nouvel entraîneur, de nouveaux amis, etc. qui travaillent à un plus haut niveau. Sans ces sauts qualitatifs, aucune amélioration majeure ascension dans les niveaux de la compétition ne se produira. 24Nous rencontrons le même phénomène dans d’autres domaines d’action. Carl von Clausewitz, l’auteur d’un traité de stratégie militaire classique du XIXe siècle, De la Guerre, note que les grands généraux et il aurait pu ajouter, les grands nageurs et entraîneurs montent en grade rapidement. Spécialement pendant les périodes de guerre, quand le résultat sur le champ de bataille est une nécessité vitale, il n’y a pas de longue période d’apprentissage avant d’atteindre les plus hauts rangs, ni d’ accumulation » ennuyeuse de savoirs ou d’habiletés 25 Les grands généraux ne sont jamais issus de la caste des officiers érudits, ou des savants. La plupart du temps, leur situation ne les avait guère mis en mesure d’accumuler de vastes connaissances… Il n’y a pas d’activité de l’intelligence humaine possible sans l’acquisition d’un ensemble de notions. Il s’agit donc seulement de savoir de quelle espèce doivent être ces notions. » [13] 26Le même schéma vaut pour la vie universitaire. Les figures majeures d’une discipline ne sont pas ceux qui ont la quantité de production la plus grande – bien que cela puisse donner un avantage à ceux qui sont largement lus – mais plutôt ceux qui écrivent des articles et des livres d’une qualité ou d’un genre tel qu’ils sont largement lus et commentés. Jamais le simple nombre de papiers présentés dans des conférences locales ou publiés dans des journaux mineurs ne sera équivalent à une Médaille d’or du CNRS en sociologie [14] ou à un article dans Deadalus [15]. Au niveau micro, augmenter simplement le nombre d’heures de travail fait chaque jour ne produira aucun changement majeur de statut si le genre de travail fait reste le même. 27Cela reste difficile à croire complètement. Cela semble contredire notre sens commun », ce que nous voyons dans notre expérience quotidienne. Le fait est que, quand autour de nous les gens en font davantage, ils tendent à faire mieux. Quand on joue une partie de football le weekend, un simple accroissement des efforts par exemple en marquant en permanence un adversaire conduit à une meilleure réussite Cette bande de mecs va-t-elle se saigner, juste pour finir aller boire une bière ? ». On dit aux enfants dans les championnats scolaires – et leurs entraîneurs finissent par le croire – que travailler dur est la première cause de la réussite [16], et les entraîneurs de natation partagent largement la croyance que ceux qui sont dans le sport le plus long temps et nagent tout au long de l’année ont le plus de succès. Les entraîneurs de haut-niveau américains sont pris dans le même préjugé, attribuant souvent la réussite au dur labeur » ou au talent ». Comme ils vivent, de manière non-réflexive, dans le haut-niveau ayant effectué là presque toute leur carrière d’entraîneur, ils ne voient jamais ce qui crée les différences entre les niveaux. Le fait est que les changements quantitatifs apportent la réussite – mais seulement au sein d’un niveau dans la discipline [17]. Faire plus du même apporte quelques bénéfices, mais seulement sous une forme limitée, localisée. On peut s’assurer un mince avantage sur ses pairs en faisant plus sans changer la qualité de ce qui est fait. 28Ayant vu que le plus est le mieux » au sein de situations locales, nous essayons d’extrapoler [18]. Si je travaille dur ce point pour atteindre mon niveau, avec quelle dureté les nageurs olympiques devront-ils travailler ? Si je fais tel sacrifice pour me qualifier pour les Championnats de l’Etat, quel sacrifice doivent-ils faire ? On croit, en extrapolant à partir de ce que l’on a appris à propos de la réussite à son propre niveau, qu’ils doivent travailler de manière incroyablement dure, qu’ils doivent ressentir une pression formidable, qu’ils doivent faire de plus en plus de sacrifices pour réussir. Supposant implicitement que la stratification en sport est continue plutôt que discrète que les différences sont quantitatives, on croit que les athlètes de haut-niveau font des choses incroyables. En bref, on croit qu’ils doivent être surhumains. 29* Ce sont réellement plusieurs mondes, chacun avec ses modèles de conduite. L’analyse développée ci-dessus peut être poussée un cran plus avant. Si, comme je l’ai suggéré, il y a réellement des ruptures qualitatives entre les niveaux du sport, et si les gens ne font pas leur chemin vers la gloire » simplement dans un sens additif, peut-être que notre conception d’un seul monde de la natation est inappropriée. J’ai parlé du sommet » du sport, et de niveaux » au sein du sport. Ces mots suggèrent que tous les nageurs sont, à proprement parler, en train de monter la même échelle, visant les mêmes buts, partageant les mêmes valeurs, nageant les mêmes nages, tous aspirant à la médaille d’or olympique. Mais ils ne le sont pas [19]. Certains veulent des médailles d’or, d’autres veulent appartenir à la sélection nationale, d’autres veulent de l’exercice, ou se marrer avec des potes, ou être en plein air, au soleil et dans l’eau. Certains essaient d’échapper à leur famille. Les images de l’élite » et des niveaux » de la natation que j’ai employées jusqu’ici sont le reflet de la domination d’une certaine fraction de nageurs et d’entraîneurs dans le sport l’élite est ce qu’ils considèrent comme l’élite, et leur définition du succès est celle qui a le plus largement cours dans United States Swimming. Les nageurs les plus rapides considèrent comme allant de soi que ce qui est rapide est le meilleur – plutôt que, par exemple, le plus beau qui soit le meilleur ; ou que l’implication des parents est ce qu’il y a de mieux ; ou que les enfants bien dans leur corps » quelque soit la signification de ceci, c’est le mieux. La terminologie elle-même, élite » et niveau », réifie le système de classement en vigueur. 30Une telle réification n’est pas seulement suspecte d’un point de vue analytique, elle est aussi incorrecte au plan empirique. La plupart des nageurs n’ont pas envie de gagner une médaille olympique. Quelques-uns peuvent avoir, au mieux, un vague désir, non-suivi d’actes, d’aller un jour aux Championnats Nationaux. Bien sûr, si un adulte demande à un enfant ce qu’il veut accomplir en nageant, l’enfant répondra je veux devenir Champion olympique », mais c’est davantage pour impressionner ou pour faire plaisir aux adultes que pour annoncer les intentions personnelles de l’enfant. Quand les athlètes les plus jeunes parlent de ce genre de sujet, c’est pour partager des rêves, pas pour annoncer des plans ; et les fantasmes sont plus souvent appréciés dans leur irréalité que dans leur réalisation. 31Aussi, nous devons envisager non un monde de la natation, mais de multiples mondes [20] et changer de monde est une étape importante vers l’excellence, une différenciation verticale plutôt qu’horizontale du sport. Ce que j’ai appelé des niveaux » est mieux décrit comme des mondes » ou des sphères ». Dans certains de ces mondes, les parents sont vaguement impliqués, les entraîneurs sont des adolescents employés comme des surveillants, les pratiques ont lieu peu de fois dans la semaine, les compétitions sont programmées peut-être une semaine à l’avance, la saison dure quelques semaines pendant l’été, et les nageurs qui sont plus nettement rapides que les autres peuvent être découragés par la pression sociale d’aller en compétition, parce qu’ils trouvent le plaisir en dehors d’elle [21]. Le grand événement de la saison est le Championnat de la Ville, quand les enfants de toute l’aire métropolitaine viennent passer deux jours à concourir les uns et les autres dans de multiples épreuves, et le reste du temps demeurent assis sous de grandes tentes à jouer aux cartes, lire, écouter de la musique, et bavarder. Dans un autre monde, les entraîneurs sont très puissants, les parents ne sont aperçus qu’occasionnellement et jamais sur les bords de bassin, les nageurs voyagent sur des milliers de kilomètres pour participer à des rencontres, ils nagent six jours par semaine pendant des années en continu, et les plus rapides parmi eux sont objets de respect et de louanges. Le grand événement dans la saison peut être le Championnat National, où les athlètes passent beaucoup de temps – s’asseyant sous de grandes tentes, jouant aux cartes, lisant, écoutant de la musique et bavardant [22]. 32Chacun de ces mondes enferme une figure de personnage puissant et d’athlète dominant, et occuper une position prédominante dans un monde ne garantit pas d’en avoir une dans un autre [23]. Aux niveaux les plus modestes, les parents des nageurs ont voix au chapitre ; au plus haut niveau, les entraîneurs ; peut-être dans les équipes de Maîtres, qui sont composées de nageurs de plus de 25 ans, les nageurs eux-mêmes [24]. Chaque monde a des buts distincts aller aux Jeux olympiques, faire un bon temps aux Championnats nationaux, gagner un tournoi local, avoir du bon temps dans les semaines qui viennent. Dans chaque monde, les techniques sont au moins quelque peu différentes comme pour le geste de brasse, discuté plus haut et les familles et les amis ont leur rôle. Sous tous ces rapports, et bien d’autres encore, chaque soit-disant niveau » de la natation compétitive est différent des autres. Les différences ne sont pas de simples écarts quantifiables dans un espace unidimensionnel menant vers les Jeux olympiques. Les objectifs sont variés, les participants ont des engagements multiples, les techniques se mélangent [25]. 33Cette notion de différenciation horizontale du sport – des mondes séparés au sein de la natation compétitive, plutôt qu’une hiérarchie – peut paraître réfutée par le fait évident que monter» jusqu’au niveau olympique est très difficile, alors que redescendre » est apparemment facile, comme si une force de gravité s’exerçait. Nous savons tous que l’on ne devient pas champion olympique en un jour. Il faut du temps pour acquérir toutes ces habiletés, saisir les techniques, développer l’envie de gagner, changer ses attitudes, se soumettre à la discipline. Le travail physique, ainsi que les ajustements psychologiques et sociaux sont conséquents. Cette difficulté suggère l’idée d’une relation asymétrique entre ces mondes. 34Moins évident, cependant, est le fait que revenir au point de départ » est difficile pratiquement. Premièrement, les techniques, une fois apprises et incorporées, ne se détériorent pas en un jour. Un assez grand nombre de nageurs, des années après s’être retirés de la compétition, peuvent revenir et, avec quelques mois d’entraînement, faire de bonnes choses. En 1972, une certaine Sandra Nielson, 16 ans, gagnait trois médailles d’or aux Jeux de Munich en natation. En 1984, atteignant juste ses 29 ans, elle participait aux Championnats Nationaux de Course de Distance, se qualifiait pour la finale, et nageait plus vite qu’elle ne l’avait fait 12 ans plus tôt – et avec nettement moins d’entraînement [26]. A ce moment-là, elle avait été éloignée de la compétition pendant 10 ans, ne revenant que quelques mois avant les Nationaux. Nielson avait très peu perdu de sa capacité. 35Ensuite, il semble qu’il y a des effets permanents ou persistants de l’entraînement intensif les attitudes de compétitivité et les stratégies pour concourir, une fois apprises sont rarement oubliées [27]. Et, finalement – et c’est peut être le plus significatif –, la pression sociale est forte pour ne pas redescendre » à un niveau inférieur de la compétition. Les super champions » ne sont tout simplement pas les bienvenus dans les championnats de petits clubs de province tant qu’ils ont la super forme, et si leur niveau commence à baisser, l’embarras ressenti a plus de chance de mener simplement à l’abandon du sport plutôt qu’à la poursuite. Le cas peut être semblable au vieux professeur qui, plutôt que d’essayer de rivaliser avec de jeunes collègues dans un champ disciplinaire en rapide évolution, commence à remplir son temps avec davantage de travaux de commission ou d’expertises pour des fondations. Une retraite harmonieusement négociée est préférable à un déclin humiliant. 36Tous ces arguments peut-être provocants pour suggérer que le monde de la natation consiste réellement en plusieurs mondes, et que les nageurs de haut-niveau » sont plutôt différents que meilleurs. Même cette formulation laisse entendre qu’à un moment donné le performer excellent pourrait être dominant à un niveau inférieur dans cet autre monde. Mais, comme le signale Clausewitz, en comparant les commandants en chef de l’armée de Napoléon avec un simple colonel 37 Certains commandants en chef n’auraient pas fait brillante figure à la tête d’un régiment de cavalerie, et vice versa. » [28] 38Certains ne commencent même pas à briller avant d’avoir atteint les plus hauts niveaux. Pour notre propos, le vice versa » de Clausewitz dans la citation ci-dessus nous rappelle la séparation en sous-espaces, et les principaux points établis les niveaux » de la natation sont qualitativement distincts la stratification du sport est discrète, et non continue ; et le sport est le plus adéquatement décrit comme une collection de mondes relativement – Pourquoi le talent » ne mène pas vers l’excellence39Jusqu’ici, j’ai suggéré qu’il y a des mondes sociaux distincts au sein de la natation compétitive, et qu’un athlète rejoint ces différents mondes en adoptant les normes de comportement des membres de ces mondes. Cet argument implique, primo, que la plupart des gens ne veulent pas en fait appartenir au plus haut rang, et secundo, que le rôle de l’effort est exagéré. Je suggère que l’excellence athlétique est largement inaccessible, voire généralement non recherchée. De nombreux individus – disons des centaines de milliers, dans ce pays – ont les ressources physiques pour appartenir à l’élite olympique. Bien qu’il y ait un niveau minimum d’entrée » en termes de caractéristiques physiques nécessaires pour les performances olympiques, ce niveau doit être assez faible, et en aucun cas mesurable. 40A ce point de l’exposé, bien des lecteurs vont demander, Mais que faites-vous du talent ? Le Talent » est peut-être l’explication naïve la plus répandue de la réussite sportive. Les grands sportifs, semblons-nous croire, sont nés avec un don spécial, quasiment une chose » en eux, qui manque aux autres, peut-être physique, génétique, psychologique ou physiologique. Certains l’ont, d’autres non. Alors qu’un athlète, nous le savons, doit s’astreindre à de nombreuses années d’entraînement et d’attention pour développer et exercer ce talent, celui-ci est tout le temps en lui », attendant seulement une occasion pour être révélé. Quand les enfants font de bonnes performances, on dit d’eux qu’ils ont » du talent si les performances déclinent, ils peuvent s’entendre dire qu’ils ont gaspillé leur talent ». Nous croyons que c’est ce talent, conçu comme une substance cachée sous la réalité superficielle de la performance qui, finalement, distingue le meilleur parmi nos athlètes. 41Mais, sur un plan conceptuel, la notion de talent échoue comme explication du succès sportif. Elle mystifie l’excellence, résumant un ensemble d’actions distinctes sous un seul concept indifférencié. Pour comprendre ces actions et l’excellence qu’elles constituent, nous devons en premier lieu dévaluer ce concept de talent, et voir là où il cloche. Sur trois points, je crois, le talent » est inadéquat. 42* Des facteurs autres que le talent expliquent le succès sportif plus précisément. Nous pouvons voir, sans grande difficulté, ce que sont ces facteurs en natation la localisation géographique, particulièrement vivre en Californie du sud où le soleil brille toute l’année et où tout le monde nage ; le revenu plutôt élevé de la famille, qui permet de se rendre aux meetings et de payer les droits d’inscription, sans oublier le simple prix d’entrée des piscines quand on est jeune ; la stature, le poids et les proportions ; la chance ou le choix d’avoir un bon entraîneur, qui peut enseigner les habileté requises ; l’héritage d’un bonne structure musculaire – être à la fois fort et souple aide certainement – ; des parents qui s’intéressent au sport. Certains nageurs, aussi, ressentent davantage de plaisir physique à nager ; certains ont une meilleure coordination ; d’autres encore ont un pourcentage supérieur de fibres musculaires rapides. De tels facteurs sont nettement identifiables et leurs effets peuvent être clairement démontrés. Les confondre tous, peu ou prou, sous la rubrique talent » obscurcit plutôt qu’éclaire la question des sources de l’excellence athlétique. 43Il est facile de procéder ainsi, spécialement quand le seul contact avec les athlètes de haut-niveau ne se produit que tous les quatre ans en regardant les Jeux olympiques à la télévision, ou quand on ne les voit que durant des compétitions plutôt que dans leur entraînement quotidien. Imaginons, par exemple, qu’un jour, j’allume la télévision et je vois une figure magnifique en patinage artistique réalisée par Scott Hamilton. Ce que je vois est la grâce, la puissance et l’adresse s’exprimant tout ensemble, apparemment sans effort une unique image mobile, rapide et sure, très éloignée de ce que je peux faire moi-même. En termes phénoménologiques, je saisis la performance d’Hamilton de manière monothétique », d’un seul coup d’œil, tout à la fois [29]. Son patinage », pourrais-je dire, en me référant à ses actions comme à une seule chose, est spectaculaire ». Avec cette rapide sténographie, j’ai capté je pense d’un coup la richesse des infimes détails qu’Hamilton a, pendant des années et des années, assemblés si harmonieusement en une performance qu’ils deviennent invisibles pour un œil non entraîné [30]. Il est possible que, en se concentrant, Hamilton puisse sentir les détails dans ses mouvements certainement, un grand entraîneur peut les percevoir, et repérer la petite faute ou erreur dans une routine par ailleurs sans défaut. Mais, pour moi, la performance est un tout. 44Après coup, mes amis et moi pouvons nous asseoir et parler de l’histoire d’Hamilton comme d’une carrière d’excellence », ou qui montre un incroyable investissement », une motivation fantastique » – de nouveaux comme si son excellence, son investissement, sa motivation existaient en quelque sorte tout-à-coup. L’excellence devient quelque chose en lui, qu’il nous révèle périodiquement, qui s’exprime de temps à autre sa vie et ses habitudes sont réifiées. Le talent » est simplement le mot employé pour mettre une étiquette sur cette réification. Mais ce n’est pas une explication du succès. 45* On ne peut pas distinguer le talent de ses effets. On ne peut pas voir que le talent existe avant que ses effets ne deviennent évidents. La recherche de Kalinowski sur les nageurs olympiques le démontre clairement [31]. 46 Une des découvertes les plus étonnantes de notre étude est qu’il faut beaucoup de temps pour identifier le talent en natation. En fait, ce n’est pas avant d’avoir des succès au niveau régional, et plus souvent encore au niveau national, qu’un enfant est repéré comme talentueux » p. 173. Il ne m’ont jamais dit que j’avais du talent avant que je ne fasse de très bonnes performances et que je fasse les Championnats Senior à seize ans ; c’est à ce moment-là qu’ils ont commencé à dire que j’avais du talent » p. 174. En dépit des capacités physiques qu’il possédait de naissance, il a fallu plusieurs années à Peter six, selon notre estimation pour apparaître doué. C’est le schéma le plus fréquent, sinon général, que nous trouvons dans nos données sur les nageurs. La plupart d’entre eux sont caractérisés comme étant “naturels” ou “doués”, une fois qu’ils ont consacré beaucoup de temps et un dur labeur à la discipline » p. 194. Quelles que soient les qualités exceptionnelles qu’on lui a reconnues une fois qu’il a été plus âgé et plus performant, elles n’étaient pas apparentes alors avant qu’il ait treize ans. » 47Les citations ci-dessus suggèrent que le talent est découvert assez tard dans la carrière, le sens implicite étant que, bien que l’aptitude de l’athlète existe en permanence, nous ne la voyons pas jusqu’à un moment tardif. Kalinowski, comme beaucoup d’entre nous, conserve la croyance qu’il doit y avoir une chose dans l’athlète qui précède et détermine ses succès, et qui ne sera découverte que plus tard. Mais, ses propres résultats, à plusieurs reprises, suggèrent une interprétation différente peut-être qu’il n’y a pas quelque chose comme le talent », il y a seulement la performance formidable elle-même. Il constate le succès et immédiatement en infère une cause sous-jacente, une cause pour laquelle il n’y a pas d’autres preuves que le succès lui-même. Ici, comme dans d’autres cas, le talent notre appellation pour cette cause ne peut être mesuré, ou perçu, ou ressenti, sous aucune forme autre que le succès qu’il est supposé produire. 48Ce faisant, dans l’analyse de Kalinowski – et la vision profane est très semblable à celle-ci –, réside une erreur analytique du premier degré la variable indépendante et la variable dépendante ne peuvent pas être mesurées séparément [32]. 49* La quantité » de talent nécessaire au succès en compétition paraît étonnamment faible. A première vue, il semble plausible qu’il soit nécessaire d’avoir un certain niveau d’aptitude naturelle pour réussir en sport ou en musique, ou dans l’université. Mais, après enquête empirique, il reste très difficile de préciser quel est exactement ce minimum physique. A vrai dire, une bonne part de la mythologie sportive est construite autour de personnages qui, manquant d’aptitudes naturelles, ont connu des succès fabuleux. Tout un genre de littérature émouvante est construite sur le thème de la personne dont les capacités naturelles ordinaires ont été détruites Wilma Rudolph avait eu la polio dans son enfance, avant de remporter le 100 mètres aux Jeux olympiques de 1960. Glen Cunningham avait eu les jambes gravement brûlées dans un incendie, pour, ensuite, battre le record du monde du mile. De telles histoires donnent du grain à moudre aux écrivains sportifs. 50Non seulement ces histoires sont communes, mais elles sont presque un genre. Bien des champions olympiques, quand on étudie leur histoire, semblent avoir surmonté une forte adversité dans leur poursuite du succès. Accidents d’automobile, jambe dans le plâtre, cheville foulée, chirurgie de l’épaule sont courants dans de telles histoires. En fait, ils sont fréquents dans la vie en général. Bien qu’un minimum nécessaire de force physique, de capacité pulmonaire et cardiaque, de densité nerveuse puisse être requis pour obtenir des résultats sportifs une fois encore, je ne nie pas les avantages différentiels, ce minimum semble à la fois difficile à définir et nettement faible, au moins dans de multiples cas. Peut-être que le facteur décisif n’est pas du tout l’aptitude naturelle, mais la volonté de surmonter les désavantages, naturels ou non, du genre de ceux auxquels la plupart d’entre nous faisons face, allant des obstacles mineurs quand nous grandissons et quand nous travaillons, jusqu’aux accidents et aux blessures, et aux handicaps physiques majeurs. 51Et, ensuite, si le niveau minimum de talent exigé paraît trop faible au point d’être universellement accessible, peut-être que le simple concept de talent lui-même – ne différenciant pas les performers entre eux – pourrait être complètement abandonné. Il ne permet pas d’expliquer les différences dans les résultats. Plutôt que de parler de talent et d’aptitude, on ferait mieux de regarder ce que les gens font réellement pour produire des performances extraordinaires. 52Le concept de talent fait obstacle à une claire compréhension de l’excellence. En fournissant une explication » immédiate mais fallacieuse au succès athlétique, il satisfait notre curiosité en passant, tout en ne requérant ni investigation empirique ni questionnement critique de nos présuppositions tacites à propos des athlètes de haut-niveau. Au mieux, c’est un moyen commode pour admettre que nous ne connaissons pas la réponse, une sorte de terme profane pour variance inexpliquée ». Mais, le projet d’expliquer échoue. Ce que nous appelons talent n’est rien de plus que la réification projetée de choses particulières déjà accomplies des mains placées correctement dans l’eau, des virages exécutés brusquement, une tête relevée plutôt que près de la surface de l’eau. A travers la notion de talent, nous transformons des actions particulières qu’un être humain effectue en un objet possédé, conservé au secret pour le jour où il sera révélé à la vue de tous. 53Cet axe de réflexion mène vers un autre point. Dans la mesure où le talent ne peut être vu qu’indirectement à travers les effets qu’il est supposé produire, son existence est une affaire de croyance. Le dogme fondamental du talent » dit que ce que les gens font en ce monde a une cause qui réside par-devers eux, qu’il y a une sorte de réalité en arrière-plan où les choses réelles se produisent, et que ce que nous, vous et moi, voyons ici dans nos vies par ex. la conquête d’une médaille d’or est réellement le reflet de la vraie réalité cachée derrière. Ceux qui ne sont pas admis dans la compagnie des élus – les talentueux – ne peuvent jamais voir comment est réellement cet autre monde des succès fabuleux, et ne peuvent jamais partager ces expériences. Et en acceptant cette foi dans le talent, me semble-t-il, nous abandonnons nos chances de comprendre correctement l’excellence. 54Encore et toujours, nous voulons croire dans le talent. Comme Jean-Paul Sartre le dit ce que les gens veulent, c’est qu’on naisse lâche ou héros » [33], sachant que cela nous protège en dévaluant les réalisations qu’on prétend élever [34]; nous séparant sur un mode magique de ces gens qui sont de grands athlètes, nous assurant que nous sommes incomparables à eux et déchargeant ceux d’entre nous qui ne sont pas excellents de la responsabilité de leur propre condition. Qualifier quelqu’un de divin », note Friedrich Nietzsche, signifie Ici, nous n’entrons pas en compétition » [35]. Avec la notion mystificatrice de talent » et la pseudo-explication in-analysée des performances exceptionnelles, nous codifions notre propre résistance psychologique profonde devant la simple réalité du monde, devant la banalité accablante de l’excellence [36].III – L’excellence au quotidien55 Les gens ne savent pas à quel point le succès est ordinaire » disait Mary T. Meagher, triple championne olympique à Los Angeles, quand on l’interrogeait sur ce que le public comprenait de son sport. Elle expliquait avoir débuté sa carrière dans une ligue estivale et travaillé pour atteindre des compétitions de niveau de plus en plus élevé ; après avoir appris de nouvelles techniques, intériorisé de nouvelles habitudes, et relevé de nouveaux défis [37]. Ce que Meagher disait – à savoir que le succès est, en un sens, ordinaire – s’applique, je crois, à d’autres espaces comme ceux des affaires, de la politique, ainsi qu’aux professions de tous types, y compris académiques. Dans ce qui suit, je vais essayer de développer ce point, en donnant des exemples tirés de mes recherches sur la natation, mais aussi d’autres espaces afin de montrer la généralité de cette conception. 56* L’excellence se construit au quotidien 57Une performance exceptionnelle est en fait le produit de douzaines d’habiletés et d’activités, apprises ou acquises de façon fortuite, et patiemment transformées en habitudes assemblées dans un tout intégré. Il n’y a rien d’extraordinaire ou de surhumain dans chacune de ces actions prises isolément, si ce n’est que, réalisées correctement, avec régularité, et toutes ensemble, elles produisent l’excellence. Quand une nageuse apprend le virage culbute en nage libre, elle nage plus vite ; grâce à une position alignée lors de la poussée sur le mur avec les bras dans le prolongement du corps, elle gagne encore un peu de temps ; elle peut également progresser en changeant l’orientation de ses mains lors des actions sous-marines en évitant la présence de bulles d’air, ou en modifiant ses retours aériens ; en soulevant des charges pour se muscler correctement ; et en adoptant les meilleures tenues pour la glisse dans l’eau, et ainsi de suite [38]. Chacune de ces tâches semble limitée en elle-même, mais chacune d’elle permet à l’athlète de nager un peu plus vite. Une fois qu’il a appris et intégré ces différents éléments et bien d’autres, le nageur peut participer aux Jeux olympiques. Une victoire n’est rien d’autre que la synthèse de ces innombrables petites choses – même si certaines d’entre elles sont faites involontairement ou par d’autres, ce que l’on appelle souvent la chance ». 58Ainsi les petites choses » comptent vraiment. Nous avons déjà vu comment une très petite – en termes quantitatifs – différence peut produire un succès notoire. Même d’apparents hasards peuvent conduire à des médailles d’or. 59 Dans l’épreuve du 100 mètres nage libre à Los Angeles, Rowdy Gaines, sachant que le starter de la course avait tendance à donner le départ rapidement, a anticipé le signal ; bien qu’il n’ait pas volé le départ, l’observation des vidéos de la course donne l’impression que Gaines savait exactement quand partir, que les autres étaient encore sur les plots quand il s’élança. Mais, le starter ne l’a pas rappelé. Et les protestations d’après course des autres concurrents furent ignorées. Gaines a passé des années à observer les starters, et il a parlé avec son entraîneur Richard Quick de ce starter en particulier avant la course. » [39] 60Gaines n’était pas notoirement plus rapide que plusieurs des autres nageurs de la course, mais avec cette tactique, il conquit un avantage suffisant pour gagner. Et, dans l’ensemble de ses courses, il cherchait à trouver un avantage de ce type dans le cas présent, cela lui a permis de remporter la médaille d’or. Portant attention à de telles subtilités, nous pouvons dire que, non seulement les petites choses sont importantes ; à certains égards, les petites choses sont les seules choses. 61Peter Drucker, le doyen des consultants américains en management, suggère une idée similaire quand il écrit, à propos du monde des affaires, que ce sont ces petites choses qui, prises dans leur en
Bonjourj'aurais besoin d'aide pour ce devoir PIX :Gary réalise un classement des champions olympiques.Complétez le tableau à télécharger à l'aide du texte suivant.La kayakiste française Émilie Fer a remporté l'or lors des Jeux Olympiques de Londres en 2012.
4 Août 2012 , Rédigé par Léo Tamaki Publié dans Vidéos Deux vidéos du New York Times qui mettent en perspective les performances des champions olympiques depuis 116 ans. L'augmentation des performances est impressionnante. Thomas Burke, le champion olympique du 100 mètres sprint de 1896 serait 20 mètres derrière Usain Bolt. Bon, il faut tout de même noter que sa performance de 12s était loin derrière le record du monde de l'époque, 10s8, et qu'elle fut réalise sur une piste sableuse. Alfred Hajo, champion olympique du 100 mètres nage libre serait 42 mètres derrière Nathan Adrian. Mais, là aussi, il faut noter qu'il a nagé dans les eaux de la Méditerranée. Dans la vidéo sur la natation on peut entendre la réflexion suivante qui m'a fait sourire "No longer the best ever, just the best of their time." C'est déjà pas mal non? ;- Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous
LaFrance compte dix-huit athlètes ayant remporté au moins trois médailles d'or, dont un quintuple champion olympique ( Martin Fourcade ), deux quadruples champions et quinze triples champions. Champions olympiques français avec au moins trois médailles d'or. Titres.
Quatre membres de l’équipe canadienne de soccer qui a remporté l’or aux Jeux olympiques de Tokyo l’été dernier occuperont le devant de la scène lors des quarts de finale de la Ligue des champions féminine de l’UEFA cette semaine. Mardi, une équipe du Paris Saint-Germain composée de l’arrière Ashley Lawrence et de l’attaquant Jordyn Huitema se rendra en Allemagne pour affronter le Bayern Munich lors du premier match de leur série de deux matchs. Mercredi, l’équipe italienne de la Juventus avec la milieu de terrain canadienne Julia Grosso accueille le club français de l’Olympique Lyonnais, avec qui le vétéran défenseur Kadeisha Buchanan a déjà remporté quatre titres en Ligue des champions. Dans les autres matches aller de cette semaine, les rivaux espagnols du Real Madrid et de Barcelone s’affrontent, tandis que le club anglais d’Arsenal accueille les Allemands de Wolfsburg à Londres. Cette compétition annuelle qui réunit les meilleurs clubs de toute l’Europe a été organisée pour la première fois en 2001-02 sous le nom de Coupe féminine de l’UEFA », avant d’être rebaptisée Ligue des champions en 2009-10. La Women’s Champions League a progressé à pas de géant depuis lors, le plus grand changement intervenant au début de cette saison avec l’introduction d’une véritable phase de groupes au premier tour. Le nouveau format signifie que pour la première fois, les tournois féminin et masculin sont alignés l’un sur l’autre. Cela signifie également des revenus plus importants pour les clubs impliqués avec une augmentation des matchs au calendrier, ce qui est un autre avantage pour l’avancement du jeu féminin au niveau professionnel. Avoir plus de matches est toujours un plus. Le nouveau format, avec une phase de groupes, il permet plus de matchs, il permet à plus d’équipes de jouer à travers l’Europe, donc ce n’est que positif en termes de progression et de croissance du jeu féminin sur à l’échelle mondiale », a déclaré Lawrence à CBC Sports. REGARDER Lawrence nominé pour le Ballon d’Or 3 Canadiennes nominées pour le Ballon d’Or Les médaillées d’or olympiques canadiennes Christine Sinclair, Ashley Lawrence et Jessie Fleming sont sur la liste restreinte pour le Ballon d’Or cette année après des campagnes nationales et internationales réussies. Apprenez-en plus sur les 3 Canadiens qui pourraient remporter le Ballon d’Or, l’individu le plus prestigieux du soccer 211 Lawrence, un Torontois de 26 ans, a été l’un des joueurs les plus importants et les plus durables du Canada aux Jeux olympiques, commençant les six matchs et enregistrant 591 minutes sur une possibilité de 600 de temps de jeu. Comme elle l’a fait pendant la majeure partie de sa carrière en équipe nationale, elle s’est avérée être une option polyvalente pour l’entraîneur national Bev Priestman, car elle a été déployée à la fois comme arrière et milieu de terrain à Tokyo. Elle a également été un contributeur majeur pour une équipe du PSG qui a remporté un championnat de France historique la saison dernière mettant fin à la série de 14 titres consécutifs de l’Olympique Lyonnais et a atteint les demi-finales de l’UEFA Women’s Champions League pour la deuxième année consécutive. La course aux quatre derniers a été particulièrement douce pour Lawrence et le PSG alors qu’ils battaient Lyon qui était le quintuple champion d’Europe en titre en quart de finale. Ancienne star de la NCAA à l’Université de Virginie-Occidentale, Lawrence s’est imposée depuis sa signature avec le PSG dès sa sortie des rangs universitaires en 2017. C’était un pas énorme à franchir à l’époque pour un joueur aussi jeune et non éprouvé. Mais Lawrence a été l’un des contributeurs les plus réguliers du PSG depuis son arrivée. Jouer en première division française et en UEFA Women’s Champions League a permis à son jeu de se développer et de grandir. L’équipe féminine canadienne en a également profité, car Lawrence est devenue une joueuse plus complète et est largement considérée comme l’une des meilleures arrières latérales au monde. Être dans ce club depuis plusieurs années maintenant, j’ai vu le développement du football féminin et faire partie de la Ligue des champions, ça a été la clé. C’est connu dans le monde entier », a déclaré Lawrence. J’ai participé à des matchs contre les meilleurs clubs – Lyon, Barcelone et le Bayern Munich – et ils sont toujours au coude à coude pendant 90 minutes. Cela vous pousse, et c’est ce qui me pousse en tant que joueur et m’a aidé moi je progresse. Cela m’a aidé à sortir de ma zone de confort et au PSG, nous avons vraiment dû améliorer notre jeu au fil des ans. Nous nous sommes améliorés dans la compétition, en atteignant les demi-finales l’année dernière, donc cela montre juste la quantité de travail et l’attention aux détails qu’il faut pour le gagner. » Le jeu de Buchanan a évolué Buchanan, une Torontoise de 26 ans, a également évolué au cours de son mandat en France avec l’Olympique Lyonnais, et en se testant régulièrement contre certaines des meilleures joueuses du monde en Ligue des champions. À la sortie de l’université et avec quelques sélections pour le Canada, la plupart de mon jeu était physique », a déclaré Buchanan à CBC Sports. J’étais très dominant physiquement, rapide, fort sur le ballon et fort dans mes tacles. Quand je suis arrivé en France, ce n’était pas le style de jeu. C’était plus basé sur la possession, très solide techniquement. Cela m’a aidé à acquérir un meilleur contrôle du ballon et de la précision avec ma capacité de passe, et à vraiment regarder différents types de passes, comme frapper une diagonale sur un sou ou une passe divisée. Donc, mon jeu s’est amélioré par rapport au fait d’être un joueur physique à l’endroit où je me sens au cours de la dernière [few] années, je me suis beaucoup amélioré sur le plan technique. »
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